Weazel News

Grand rendez-vous pour tous les fans de basketball ! Les Panic de Los Santos vont recevoir pour les deux premières rencontres les Penetrators de Liberty City avec la pression sur les épaules dans quinze jours à la Maze Bank Arena qui sera pleine à craquer. Les vainqueurs des deux conférences du championnat se disputeront donc sans relâche pendant sept matchs le titre national. L'occasion d'emmener pour une 11e fois le trophée Edward O'Conners dans sa besace pour les Panic, la 8e fois pour les Penetrators. Tous les coups seront permis pour parvenir au Graal.

Fait important, la finale se jouera à nouveau avec le format originel 2-2-1-1-1 remplaçant le 2-3-2 instauré en 1984, considéré comme trop avantageux pour les équipes ayant l'avantage du terrain pour les deux premiers matchs. De quoi rassurer un petit peu les Penetrators, inférieurs dans les statistiques sur la saison régulière. Compte tenu de la rivalité entre les deux équipes et de l'enjeu de l'événement, des mesures de sécurité ont étés prises par les présidents des deux franchises et la municipalité de Los Santos afin d'éviter des débordements similaires à ceux du 3e match de la finale de 1997 (qui opposait déjà les deux équipes) ayant faits pas moins de dix blessés graves durant l'accès à la Maze Bank Arena.

Lilian Dillinger, le manager des Panic, durant la conférence de presse d'hier soir a confié qu'il était "sur un siège éjectable" tandis que le manager des Penetrators Richard Frazer se focalise davantage sur "la bonne tactique à avoir" que sur sa situation personnelle. La National Federation of Basketball a indiqué par un communiqué sur son site internet que 100 places supplémentaires pour les deux premiers affrontements vont être mises en vente pour la durée du week-end seulement.

InterGlobal Films l'a annoncé, un quatrième volet de la saga Evacuator initiée en 1984 va débarquer en salles d'ici 2017. Le titre a été lâché dans un communiqué de presse et celui-ci sera Evacuator 4.0: Running Somewhere in Time et le tournage se fera aux studios Richards Majestic. Toutefois, aucune mention n'est faite de Jack Howitzer qui tenait le rôle principal dans les deux premiers films (Evacuator et Exploder: Evacuator Part II) ni de Jackson Vega qui partageait le rôle avec lui pour The Discharger: Evacuator Part III. Il faut aussi dire que Jack Howitzer est sorti de prison l'année dernière pour homicide involontaire sur l'animateur de WCTR Billy Dexter en 1992 et que Vega à quant à lui raccroché sa carrière d'acteur à la fin des années 90 après avoir tenté une aventure en Angleterre et son théâtre de Shakespeare. En toute logique, InterGlobal Films voudra très certainement baser ses ambitions sur les épaules d'un acteur plus jeune mais aussi plus bankable au box-office.

Sur les réseaux sociaux LiveInvader et Bleeter, la nouvelle galvanise les foules. Nous avons droit à tout, du sempiternel "Pas de Jack Howitzer dans le 4 ? Ça va être naze. Déjà que Vega dans le 3 était pas génial..." et autre "Film fait pour l'argent, pitoyable !" aux messages d'euphorie. Oui, très clairement, la saga Evacuator est encore là. Elle renaît de ses cendres. MAIS pour I.G. Films, il va également falloir redresser la barre scénaristique des deux derniers volets, considérés comme bêtes au possible par beaucoup de gens mais aussi s'assurer que ce Evacuator 4.0: Running Somewhere in Time rentre dans ses frais. Rien n'a été dévoilé concernant le budget qui devrait très certainement donner le tournis mais nous pouvons déjà penser que ce sera un des défis à relever pour cette troisième suite.  

Il faudra donc tenir en haleine le public durant encore trois ans et dévoiler au compte-goutte les teasers et trailers avant le jour de la sortie. A l'heure où nous rédigeons l'article, les plus folles rumeurs commencent à apparaître sur le Web. Et vous, comment réagissez-vous à cette annonce ? Faites-nous le savoir !

La carte postale du quartier de Del Perro, le Del Perro Pier appelé par beaucoup Pleasure Pier, va disparaître d'ici 7 ans. Le maire et son administration ne comptent plus sur cet emplacement emblématique voire mythique pour les futurs plans d'expansion immobilière du côté ouest de la cité. Jusqu'à Vespucci, tout sera dénaturé pour laisser place à de somptueux quartiers résidentiels ciblant des clients très aisés. Le maire déclare que "Vinewood ne suffit plus" et que l'image grandiloquente et excessive de la ville doit être "entretenue, maintenue et agrandie". Le littoral sera pendant quelques années le théâtre et le champ d'action des tractopelles, grues et bétonnières et le montant de ces œuvres est à l'image de ce qui va être mis en chantier.

Sans être trop précis, le maire et les adjoints au logement ont confirmé une fourchette oscillant entre 900 millions et 1 milliard de dollars échelonnés sur dix ans, si tout se passe comme prévu. Comprenez par-là d'éventuels malus financiers. Le coût est énorme et les ambitions des hauts dirigeants de Los Santos le sont tout autant. Pour les habitants, notamment issus de quartiers moins huppés et mis en lumière, ces travaux considérables sont dispensables: "Je n'arrive plus à amener mes enfants à l'école tellement j'ai peur de me faire tuer pour ma montre ou mon collier. Et encore, quand le corps éducatif n'est pas en grève contre la mairie et l'État !". Ce témoignage soulève un énorme problème dans la vie quotidienne des citoyens, la criminalité et l'éducation. La première augmente depuis 20 ans, la seconde baisse depuis tout autant de temps. La situation devient vraiment dramatique mais le maire, à qui la passivité sur ces sujets lui ont déjà été reproché par le passé, ne semble pas vouloir mettre en pratique des solutions.

Ses détracteurs voient en cette annonce un énième coup politico-médiatique. C'est ce qu'affirme Charles Fitz (adjoint de campagne de la candidate Sue Murry au poste de Gouverneur), celui-ci voyant en cette expansion immobilière un bon moyen de "s'accaparer les grosses fortunes de la ville et de s'attacher un soutien financier et des voies non négligeables à sa réélection l'année prochaine". Le ton est donné. Ambition politique ou non, Gerard Van Berg semble vouloir concrétiser ses plans dans les années qui suivent. Mais ne nous n'y prenons pas, n'y a-t-il pas dans les propos de Charles Fitz une nouvelle pique calculée envers les Républicains/Conservateurs alors que l'élection à la tête de l'État aura lieu le mois prochain ? Durant le mois qu'il reste, tous les moyens seront bons pour déstabiliser l'adversaire.

Selon des témoignages anonymes d'habitués de l'établissement, le Pacific Bluffs Country Club soufrerait d'éventuels problèmes d'ordre sanitaires. Ces habitués nous parlent de "cafards dans la réception" ou encore de "principes d'hygiène négligés" dans les différents services de cuisine du club. Des accusations extrêmement graves si celles-ci venaient à être vérifiées d'autant plus que la clientèle semble être en baisse depuis maintenant 3 ans et qu'une condamnation pourrait causer la perte du complexe. En effet, les activités alliant sport et gentlemen se situent maintenant en plein Los Santos avec son grand parcours de golf et ses installations reconnues par les plus hautes instances de la discipline. Le Pacific Buffs Country Club, autrefois érigé et porté en symbole de rendez-vous incontournable pour tout le gratin de la ville, ne peut qu'en faire les frais.

Pourtant, la direction a prit l'initiative d'élargir ses horizons afin de ralentir voire contrer cette baisse de fréquentation en ouvrant des cours de tennis, des pas et autres services de massage mais cela n'a pas semblé pour l'instant faire effet. Joe Hilliardy et Vera Green, les deux propriétaires du complexe côtier, ont immédiatement réagis après avoir pris connaissance de ces témoignages à notre rédaction: "Tout cela est faux. Nous nous efforçons depuis maintenant quinze ans à offrir les services les plus irréprochables qu'ils soient pour chacun de nos membres et notre politique est de ne justement laisser transparaître aucune ombre au tableau. Un accident peut vite arriver et il peut bien sûr il y avoir quelques soucis dans les rouages de la mécanique mais des accusations comme nous avons pu entendre relèvent, et vous avez notre parole, de la pure fantaisie."

Vera Green pense que ces témoignages sont le fruit de la direction du Los Santos Golf & Country Club pour "récupérer la dernière part du gâteau"... Quoiqu'il en soit, des tests vont être effectués dans les semaines qui viennent à Pacific Bluffs et si les propos sont à rangés du côté de la vérité, les sanctions pourraient être désastreuses.

Los Santos est devenu au fil des quinze dernières années le terrain de jeu favori des ennemis jurés des vedettes du showbiz: les paparazzis. Toujours à la limite, toujours aux aguets, ceux-ci sont légion dans les quartiers les plus reconnus de la cité dans le monde à savoir Vinewood et Rockford Hills. Suite aux dérapages ces derniers mois de Poppy Mitchell et de l'acteur Steve Ling, les célébrités semblent de plus en plus déterminées à marquer leur territoire. En effet depuis la semaine dernière, nous pouvons voir sur les différents sites de partage et les réseaux sociaux une vidéo (vite devenue virale) où Nick Gooch agresse un photographe à la sortie de son véhicule en proliférant des menaces de mort à son encontre. Ce n'est pas la première fois que ce genre de réaction arrive et la fréquence ne fait qu'augmenter.

Nous devons bien avouer quelque chose: la situation des célébrités envers les paparazzis est paradoxale, certaines essayent de les fuir comme la peste tandis que d'autres profitent de leur présence pour garder un semblant d'existence et d'intérêt public. Le maire Gerard Van Berg est bien conscient de l'importance médiatique des célébrités à Los Santos et ce n'est pas sa volonté de surprotéger sa "clientèle dorée" qui nous fera dire le contraire. Quoi de mieux que des visages connus pour assurer sa promotion en vue des élections de l'année prochaine ? Pour remédier à la prolifération de ces photographes "indésirables", Vinewood et Rockford Hills vont se voir doter de plusieurs centaines de caméras de surveillance et de patrouilles de police régulières. Rien que ça.

Pour les citoyens, cette décision peut-être synonyme d'un pas supplémentaire vers la porte de sortie de l'administration pour Van Berg et nous ne pouvons que leur donner raison, celui-ci ne faisant que des déclarations contestables et surtout contestées par la très grande majorité de la population. Et vous, pensez-vous aujourd'hui que Gerard Van Berg devrait se retirer ?

Les amateurs de sensations fortes peuvent d'ores et déjà noter dans leurs agendas les dates de l'édition 2014 du Sprunk Beach Challenge, les 4, 5 et 6 Juillet prochains ! Comme vous l'aurez remarqué, l'ouverture de cette compétition festive ouverte à tous se déroulera le jour de la fête nationale pour se poursuivre durant l'intégralité de son week-end alors que les précédentes éditions se sont toujours déroulés à la mi-Juin durant deux jours seulement. Assurément, la compagnie de boisson Sprunk et ses partenaires veulent mettre les petits plats dans les grands ! La page réservée spécialement pour l'événement vient d'être ré-ouverte sur le site de la firme pour le plus grand bonheur de ceux qui veulent être plus que de simples spectateurs: bénévoles, concurrents, vous aussi soyez de la partie.

Le Sprunk Beach Challenge est organisé depuis 1997 sur les immenses plages de Los Santos (NDLR: exception pour 2003 où, à cause d'intempéries anormales pour la saison sur la côté Ouest, l'édition s'est installé à Vice City) et ne cesse de gagner en affluence chaque année. Pour preuve, les chiffres officiels recensent 9 000 participants pour 2011, 10 500 pour 2012 et pas moins de 11 500 personnes pour l'année dernière. Ted Busby, l'organisateur en chef de la chose mais aussi principal responsable de la gestion des partenaires, vise une affluence s'élevant à 14 voire 15 000 participants. En effet celui-ci nous parle d'une "fête devenue elle aussi nationale" et que le choix bien précis du jour d'ouverture de cette édition 2014 n'est pas le fruit du hasard: "Nous espérons attirer le plus grand nombre durant ce week-end du 4 Juillet avec des concerts toute la nuit, des prix réduits, plus de courses et d'activités et une durée plus longue bien évidemment. On veut vraiment faire de 2014 la grande année du Sprunk Beach Challenge.".

Alors, une fête nationale encore plus festive que d'habitude, ça vous tente ? Nous pensons très sincèrement connaître d'avance la réponse !

C'est un grand moment pour les aficionados de course automobile ! En effet, la division sport de la marque Dinka a affirmé vouloir faire son retour dans la compétition presque dix ans après son retrait. La saison 2006 du championnat du monde d'endurance avait scellé le destin de la Dinka Atomic Racing Team en raison de très mauvais résultats et de pertes d'investisseurs. Le mois de Mai, période traditionnelle du lancement de la saison, sera sous le signe des rugissements des moteurs. Pour porter à nouveau les couleurs sur les circuits du monde entier, c'est la toute dernière supersportive issue des usines nippones de la marque qui a été choisie, la Jester. Les tests de la version course donnent le message à ses futures concurrentes: 900 kg pour 350 km/h de vitesse de pointe. Rien que ça.

Takehiro Tumito ainsi que Todd Cusack, les respectifs responsables de la branche sportive de la marque au Japon et aux États-Unis, ont dévoilés un peu plus en détail leur philosophie pour cette nouvelle saison: "Les autres écuries sont elles aussi impatientes d'en découdre et revenir comme ça, huit ans après notre dernier championnat, ne sera pas aisé. Nous avons cependant mis tous nos efforts dans la conception de la Jester D/16 afin d'essayer d'être le plus rapidement en haut du tableau et de venir gêner les meilleurs. Le châssis et le moteur sont extrêmement importants en endurance et leur fiabilité commune doit être optimale." Dinka ne semble donc pas revenir pour faire de la simple figuration mais vraiment pour remporter le titre, Tumito d'ajouter que "le titre mondial constructeur serait une belle récompense". Le sponsor historique de l'équipe, Atomic, fera également son retour comme le confère la photo donnée par la marque.

Ce qu'espère aussi les fans avec ce retour, c'est un plus du côté du spectacle proposé. En effet, la saison 2013 n'a pas brillé pour son suspense ni pour sa qualité ce que même les professionnels de la course automobile s'accordent à dire en plus des multiples accusations de corruption d'Herbie Growstone, le chef d'orchestre en coulisses du championnat. L'A.I.F. n'a d'ailleurs toujours pas souhaité s'exprimer sur ce sujet ambigu et terne de ce sport.

Le drama de MeTV arrivé à la mi-saison à l'antenne, Prison Bitches, est sous tous les feux. Décrit par le critiques comme étant un travail de composition sur la situation carcérale dans le pays tout comme la grande majorité des spectateurs, il n'empêche que le show est la cible d'attaques de dizaines d'associations concernant la teneur des images diffusées. Il est vrai que la série n'est pas la plus grand public qui existe que ce soit par son langage très crû ou son synopsis qui est le suivant: "La vie en pénitencier de prisonniers quotidiennement victimes d'abus sexuels [...]". Les associations dénonçant la série reproche à MeTV de diffuser "un spectacle qui n'a pas lieu d'être à la télévision". Steve K. Ving, le créateur et producteur du sérial, s'est défendu des attaques en répondant à ses détracteurs que "ce qui choque dans les épisodes ne sont pas forcément les scènes d'actes mais avant tout l'ambiance générale".

Tout comme Prison Bitches, MeTV se voit une fois de plus mis devant les projecteurs, celui-ci étant étant bien connu pour ses programmes souvent jugés à la limite de l'acceptable comme le montrait bien l'année dernière la série policière n'ayant malheureusement pas dépassée huit épisodes, Seven Bullets. C'est l'optique qu'ont voulus donner les dirigeants de MeTV après le rachat de 24TV, proposer des sérials hors du commun et peut-être moins accessibles que ceux des grands réseaux nationaux comme CNT. La recette s'avère plutôt payante pour le cas de Prison Bitches: MeTV tourne aux environs de six millions de téléspectateurs tous les Mercredis sur la tranche de 22 heures, un record pour le réseau. D'ailleurs, est-ce que cet élément ne pourrait pas jouer en défaveur de ceux qui portent plainte envers la direction ?

Cela étonnerait tout le monde que MeTV déprogramme sa série devenue numéro une en seulement deux mois et l'espoir d'obtenir gain de cause pour les associations plaignantes sont infimes. Cependant, on est en droit de se demander si cette cacophonie autour du show n'est pas responsable du retard de l'annonce de son renouvellement pour une seconde saison en 2015...

C'est ce que ce sont demandés beaucoup d'habitants de la ville et les réponses n'ont pas tardé à leur arriver aux oreilles: non, Los Santos n'est plus aussi attirante pour les nouveaux constructeurs et habitants. Ceci peut s'expliquer par la crise du logement dont a fait face la cité en 2009 et 2010 qui traîne encore des séquelles derrière elle, séquelles qui ont des répercussions directes sur le marché actuel. Pour illustrer, les prix moyens des pavillons en proche banlieue ont augmentés de plus de 20 % sur quatre ans ce qui est un gouffre pour les éventuels acheteurs et que dire des loyers des appartements ayant flambés afin de s'aligner. L'immobilier est un secteur extrêmement difficile à San Andreas et ces quatre dernières années ne peuvent contredire la donne et bien souvent, ce sont les plus petits budgets qui en payent le prix fort. Se loger est devenu un luxe.

Les terrains à vendre ont donc eux aussi connus une augmentation significative de leurs valeurs respectives. Entre 2011 et la fin-2013, la Mairie a enregistrée une baisse d'environ 10 % en permis de construire pour les particuliers. La dernière crise mondiale en date a frappée fort sur l'économie et la qualité de vie de la population. Le chômage en a évidemment profité pour s'accroître et e serrer la ceinture est devenu un mode de vie voire une habitude plutôt qu'un simple état passager. Les années 1980-90 semblent loin, quand Los Santos et San Andreas tout entier connaissaient une certaine croissance, non négligeable. Les disparités s'accentuent et les responsables sont aux yeux des habitants tout trouvés: l'Administration. Le Maire Gerard Van Berg n'est plus dans leurs petits papiers et son éventuelle défaite aux élections l'année prochaine est déjà vue comme une bouffée d'oxygène pour la grande majorité.

Les quelques manifestations de ces dernières semaines sont très claires sur leurs revendications, abandonner le projet d'expansion sur la Côté Ouest entraînant avec lui la destruction du grand Del Perro Pier au profit de dizaines de logements sociaux. Il reste encore à savoir si ses revendications ont été saisis par les intéressés.